À PROPOS DE MTP

Vision

La vision à long terme du MTP est de construire un pool d’expertise technique et managériale, de faciliter les échanges régionaux entre les experts de la noix de cajou en partageant les leçons apprises et les innovations au niveau régional et national. Dans chaque pays, il y a des personnes ressources pour le transfert de connaissances dans les domaines suivants :

  • Agronomie et gestion des vergers d’anacardiers ;
  • Gestion post-récolte et qualité des produits de la noix de cajou ;
  • Transformation et ajout de valeur à la noix de cajou et à ses sous-produits ;
  • Mécanisme de marché, analyse du marché des noix et des amandes ;
  • Relations commerciales entre les parties prenantes ;
  • Développement de la chaîne de valeur;
  • Économie de la culture et de la transformation de la noix de cajou
  • Conseils en matière d’autofinancement ;
  • Analyse et formation des prix ;
  • Conception et production de matériel d’enseignement/de formation.

Réalisations jusqu’à présent

Experts diplômés formés

Après 14 éditions du MTP, 1037 experts de la chaîne de valeur de la noix de cajou, dont 38% de femmes et 62% d’hommes, ont obtenu leur diplôme de maître formateur, parmi lesquels 46% de jeunes (c’est-à-dire des personnes de moins de 35 ans).
Le programme rassemble en une seule entité tous les acteurs de la chaîne de valeur: Agriculteurs, Transformateurs, Négociants et Exportateurs, décideurs, Ministères, Universités, Recherche, Finance.

Échange régional

Le MTP constitue un échange régional efficace
entre 21 pays jusqu’à présent : Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Ghana,
Mozambique, Sierra Leone, Togo, Mali, Gambie, Cameroun, Tanzanie, Zambie, Tchad, Nigeria, Sénégal, Kenya, Guinée Conakry, Madagascar, Allemagne, Guinée Bissau, Sierra Leone.

Collaboration entre les partenaires

Le programme de formation a été mis en œuvre par des partenaires tels que la GIZ, l’ACA, le ministère de l’alimentation et de l’agriculture et l’Institut de recherche sur le cacao du Ghana, le Conseil du Coton et de l’Anacarde, et de nombreux partenaires privés.

Les sessions précédentes ont également été co-sponsorisées par :
Le Secrétariat d’Etat à l’économie (SECO), l’AFPC, le ministère zambien de l’agriculture et la Banque africaine de développement, la Banque mondiale /PACA, l’IRD, les projets bilatéraux BMZ/GIZ au Togo, au Burkina Faso, au Cameroun et à Madagascar, Caju Industrie, Burkina Cajou, le ministère de
l’Agriculture au Burkina Faso, le Ministère de
Agriculture et Cashew Board en Tanzanie, Le Ministère de l’Agriculture et COOPI/UE en Sierra Leone, USIBRAS et INCAJU.